alors le texte qui suit n'a malheureusement aucun rapport avec dofus, c'etait un personnage creer sur un jeu en ligne, mais ayant passer beaucoup de temps a l'ecrire, je me permet de vous le faire partager, d'autant plus qu'il y a l'aire d'y avoir quelques fan de rp ici^^
par contre je previens, y a deux trois passage assez trash :s
Tout commença il y a 496 ans, en valachie, royaumes commandé par vlad tepes dit l'Empaleur. Valentine, une jeune paysanne de 21 ans, rêvais de découvrir un monde où labourer les champs ne serais son unique avenir. C'est pour cela qu'elle se jeta a corps perdue, comme tant d'autre, sur les routes afin d'y vivre un avenir un peu moins routinier que celui que son père avais envisagé pour elle. Se marier? Elle n'était pas du genre a vivre au crochet d'un mari qui allait surement se souler avant de la battre puis de la violer.
Prenant la fuite en pleine nuit, sa première sensation fût une peur irraisonné de l'inconnu, après tout, elle n'avais connu que la ferme et rien d'autre. Cependant l'envie de partir finit par vaincre sa peur, et elle marcha toute la nuit, ne pensant qu'a "l'aventure". Perdu dans ses pensées, elle ne vit pas les ombres convergentes vers elle au cœur de la foret, et c'est ainsi qu'elle se retrouva dans les bras d'un bandit!
Et bien ma joli, que fait tu seule dans les bois a cette heure? T'es pas au courant que y a des brigand qui trainent dans le coin?
Échangeant un regarde malicieux a ses amis, il se rapprocha de valentine.
Mon père m'a demander de livrer du pain a une ferme au contrebas de la vallée, je me suis attardée et j'ai dut rentrée de nuit, maintenant veuillez m'excuser mon père doit se faire du soucis...
Se plantant devant elle, il fit signe a ses compagnon de le rejoindre, une lueur lubrique au fond des yeux...
On dirais qu'un père va attendre sa fille longtemps...
Les brigand la violèrent a tours de rôles, et a la fin, même ensemble, la pauvre bougresse dut subir leurs assauts tout le reste de la nuit, ne souhaitant que la mort, se demandant comme pouvait-on endurer autant de souffrance, et espérait que le petit matin arrêterais son calvaire.
Le soleil pointait son nez quand les porc finirent leurs besognes, un des brigand, avant de repartir, lui planta un couteau dans le ventre, histoire de s'assurer quelle ne créerais pas de problème, c'est ainsi que valentine perdit connaissance.
CHAPITRE DEUX: convalescence
Reprenant peu a peu ces esprit, sa première impulsion fut de se lever, ce qui lui arracha un cri de douleur, mettant la main a son ventre, elle sentie un bandage, ce n'est que la qu'elle se rendit compte du décor: une chambre chichement meubler mais lumineuse, et un lit douillet.
Parvenant tant bien que mal a se lever, elle sortie de sa chambre. N'entendant aucun bruit dans les autre pièce, elle descendit un escalier de pierre, qui l'a mené dans une grande salle qui devais servir de taverne, et avisa un homme occupé a nettoyer des verres, celui-ci entendant les bruit de pas releva la tete, permettant a valentine de voir un homme de 50 ans, assez quelconque, qui ne tarda pas a parler:
On dirais que vous etes enfin réveillée, je commençais a m'inquiète...Ça fait deux jours que vous dormez, et comme la blessure était plutôt moche, j'ai du la nettoyer durant votr sommeil, vous ne m'en voudrez pas de voir avoir déshabiller j'espère.
Je me vois mal vous en vouloir en pareil circonstance, merci beaucoup de m'avoir aider monsieur...monsieur?
neals duncan, mais appeler moi neals tout simplement. Je suppose que vous avez faim, votre corp n'a pas encore reussit a récuperer, ce qui semble normal d'ailleurs, prenez une assiette je vais chercher du ragout.
Je suis affamée!!! Comment vous remercier neals? vous m'avez probablement sauvée la vie.
Et bien, j'ai besoin d'une serveuse, la précédente est partie avec son mari avant hier et depuis je me tue a la tache, donc si vous n'avez ni emploi ni obligation, vous me seriez bien aimable d'accepter, évidement j'attendrais que vous soyer rétablie...
Pour etre honnete, je viens de fuir de chez mes parents, et je n'ai aucune idée, d'ou allée ni quoi faire, donc tout me semble allez en votre faveur maitre neals.
Voila qui resoud un problème commun, si vous le souhaitez, j'ai une chambre a l'étage de réserver pour mes employer, et comme vous sembler remplir cette condition, et que vous y êtes déjà installée de toute façon, aller vous reposer après y avoir manger, mes premiers clients ne devraient pas tarder a arriver.
Merci beaucoup, maitre.
Se retirant dans sa chambre, elle se rendit compte qu'elle ignorais les circonstance l'ayant amenée ici, une lueur grise, et une douleur inimaginable reste les seules chose qui lui restent de l'épisode tragique qui lui value plus tard une cicatrice sur l'abdomen.
CHAPITRE TROIS: mémoire
Trois ans étaient passée depuis sa rencontre avec neals, travaillant d'arrache pied pour honorée sa dette, elle se fit très vite a son nouveau métier, devenu une vrai citadine, elle passait une bonne partie de son temps libre en ville, flannant entre les magasins.
Devenue une femme épanouie, elle ressentait inexplicablement un dégout en regardant dans les yeux des hommes, un écho qui résonnais avec une partie de sa mémoire qu'elle avais beau essayer de trouvée, elle n'y parvenais pas.
Pendant longtemps, elle vécut heureuse, appréciant a sa juste valeur la vie qu'elle avais réussit a obtenir, c'était encore mieux que ce qu'elle avais imaginé dans la ferme de son paternel. LA Liberté, ce mot comprenant tout ses désirs, ses espoirs, et l'espérait-elle, son avenir.
Malheureusement tout bascula, un soire où elle faisait son service dans la taverne, une bande s'attablât et la héla a forte voix, s'approchant pour prendre leurs commande, le regard et le visages de ces hommes brisa une barrière dans son esprit...Se remémorant le calvaire infliger par ses porcs, elle devint a demi-folle de terreur et courut se réfugier dans sa chambre.
Après avoir fermer l'auberge,Neals vint voir ce qu'il se passait, mais perdue dans ses souvenir, elle se débattit tandis qu'il cherchait a la réconforter. Dans sa panique, valentine pris un objet sur sa commode et l"écrasa au visage du malheureux qui tomba lourdement sur le sol.
Ce n'est que 3 heures plus tard qu'elle repris ses esprits et vit le cadavre de son bienfaiteur sur le sol.
Anéantie par ses propres souvenirs, elle maudit sa propre faiblesse, et pleura sur le corps du l'homme qui fut son sauveur, son mentor et son gagne-pain.
Malgré sa douleur, elle sut au font d'elle que plus rien ne serait comme avant, prenant l'argent de la caisse, elle mis le feu a l'auberge et sortie aussi furtivement que possible, se coulant dans la nuit comme un ombre.
CHAPITRE QUATRE: horreur
Espérant partir le plus vite et discrètement possible de cette ville, elle marcha a vive allure, a travers les rues de la cité, vers la porte Nord. Sa surprise fut totale quand elle ressentie un choc violent sur sa nuque, qui l'expédia directement dans l'inconscience.
Elle revit le cauchemar plus d'une fois en rêve, ce qui la ramena nauséeuse a la réalité pour voir 7 visages blafards et souriants, avec le regards qui lui faisait tant horreur.
T'a décidément pas de chance ma jolie, nous qui pensions t'avoir tuée la dernière fois, ce fut une surprise de te voir radieuse a cette taverne, mais n'ai crainte, ce coup-ci on fera les choses biens...Merci de ne pas avoir parler de nous, ca aurais pus nous attirer des ennuis.
Aller les gars, montront a la demoiselle a qu'elle point on est désolé d'avoir salopé le travail la dernière fois.
Elle qui pensais avoir souffert autant que c'est possible, découvrit de nouvelles rives sur le territoire de la douleurs, rendue totalement folle par la souffrance, elle ne put qu'hurler. Durant plusieurs jours, valentine devint le jouer de ses hommes qui abusais d'elle autant que c'etait possible.
Lui ayant fracturer la mâchoire, les bras et les jambes, valentine ne réussit même pas a opposer un semblant de résistance au sévissent que subissait son corp martyrisé. Ses cris devenais de plus en plus inhumain au fur et a mesure que ses cordes vocales claquait l'une après l'autres lui laissant une fois d'un autre monde, reflet de la douleur, du désespoir et de la folie qui l'habitait.
Les brigands, lassés de jouer avec l'égorgèrent avant de la jetée dans un marécage.
Valentine mourut misérablement, ses pensées occupées par un esprit de vengeance décuplée par sa folie.
CHAPITRE CINQ: renaissance
deux ans plus tard
où suis-je?
Cette pensée retentit dans son esprit tels un éclair, elle qui se pensais morte pouvais toujours penser, quelques choses clochait.
Fouillant dans sa mémoire, elle ne se souvint que de deux scènes atroces qui lui firent monter les larmes aux yeux. Un seul sentiment habitait son esprit, la vengeance, violente et absolue, les monstres connaitraient une partie de la douleurs qu'ils infligent, ca elle s'en assurerait, mais pourquoi n'était-elle pas morte...
Se relevant avec peine, elle regarda son reflet dans l'eau qui stagnait a ses pieds, son corps avais pourrie, le temps avais dut s'écouler pour ravager ainsi son enveloppe charnelle. Sentant une force étrange envelopper son corps, elle vit son corps revêtir un aspect plus humain, sa peau se reforma, les muscles se consolidèrent, ses tendons se ressoudèrent, lui redonnant son corps d'antan avec une teinte bleu pâle.
Essayant de trouver la source de se changement, elle trouva dans son esprit une zone sombre et chaotique recélant en son sein, un pouvoir étourdissant. Instinctivement, elle leva la main pour le déchainer, mais rien ne se produit a par une onde sur le marécage...Attendant de voir ce qui allais se passer, elle vie une silhouette se dessiner dans l'eau, cette silhouette s'arrachât de l'étang sous la forme d'un squelette.
Repensant au légende de son enfance, elle sut qu'elle était une âme damnée, une créature de la nuit ramenant d'autre mort a la vie pour de funeste tache.
Un sourire se forma sur les lèvres bleu roi de la mort-vivante.
Un hurlement inhumain, représentation parfaite d'une âme meurtrie et vengeresse se fit entendre dans la foret.
A PRÉSENT JE SUIS HISOMERA, VALENTINE N'EXISTE PLUS, ET D'UNE NOIRCEUR INSONDABLE VIENDRA UNE VENGEANCE QUI NE POURRA ÊTRE ASSOUVIS QUE PAR 35 LITRES DE SANG FRAIS!!!!!!!!!!!!!!!
Sur ces paroles, la chasse a l'homme fut ouverte.
CHAPITRE SIX : vengeance
Deux ans était passé, la mort n'avait pu étouffer la soif de vengeance d'hisomera qui souhaitait par dessus tout faire souffrir ses bourreaux responsables de tous ses maux. Non pas que la "mort" lui déplaisait, ne plus rien redouter était enivrant, son corps se régénérait tout seul a la moindres blessure, et mourir deux fois n'était possible de toute façon; les seules marques de sa mortalité étaient une cicatrice d'un pouce dans l'abdomen juste a droite de son nombril, et une fine trace sur la trachée, là où deux ans plus tôt, un couteau avais mis fin a son existence d'humaine.
Ayant maintenant des capacité surnaturelle, elle imaginait déjà les tourments qu'elle infligerait aux 7 hommes qui hantaient ses rêves. Elle avait réussit a invoquer une vingtaine de squelettes, qui patrouillait par groupe de 5 dans la foret où sévissent les bandits.
Maintes fois, elle était tomber sur un bivouac de fortune, un feux, trois rondins de bois, et parfois un cadavre, Hisomera pleurais pour les victimes de ces bouchers, et a chaque fois elle se résolu a faire revenir l'âme, pour que celle-ci ait la possibilité de faire rendre justice par elle même.
Des mois passèrent, les gredins étaient prudenst et bougeaient vite, mais les squelettes, eux, ne dormaient pas. Et enfin, une nuit de pleine lune, un fil dans son esprit fut capter par l'attention d'un des squelettes, un feux, et 7 hommes en train de brutaliser un père de famille ainsi que sa fille de 13 ans.
Je les tiens, ces chiens vont enfin payer pour tous leurs crimes.
En pensé, elle rassembla ses troupes, les faisant encercler le campement de fortune...Aucun n'en réchapperais, et ainsi le massacre commença.
S'avançant lentement dans la lumière du feux, elle l'éteignit d'un regard, les squelettes n'aimais pas la lumière. Un voile blanc fantomatique descendit sur la scène désormais privée de lumière, seule la lune permettait, grâce a sa teinte spectrale, d'éclairer la scène.
Bonsoir mes mignons, encore en train de s'amuser...Une fille si jeune, vous n'avez donc aucune morale...
Les gredins avais pâlit a la vue de cette silhouette sombre, draper de noirs, et de cette voix douce mais dénuée de pitié.
Qui est tu? Tu veux mourir? Nous sommes 7, et toi tu es une femme seule, dégage avant que l'on ai finis de s'occuper de cette gamine!
Relevant sa capuche, elle découvrit son visage que les brigands ne manqueraient pas de reconnaitre, ses yeux avais virer au rouge, et une fureur sans bornes coula dans ses veines, tels une lave impétueuse que seul l'assouvissement de ses désirs pouvais calmer.
les gredins pâlirent de plus belle a la vue du visage qu'il virent, la paysanne était revenue d'entre les morts, dans ses yeux, ils purent y lire la fin de leurs vie, cette esprit sera la juge, l'avocat, la défense et le bourreau...
Moi? Seul? Malheureusement pour vous je ne le suis plus depuis que vous m'avez déposséder de tout, respect, fierté, orgueil, jusqu'à ma vie.
Seulement voila, je suis de retour, et votre châtiment sera une mort lente et douloureuse. Vous allez connaitre le sentiment que vous faites subir a vos victimes. On échappe pas a la fatalité...
les bandits, fou de panique, cherchèrent a fuir a travers les bois, se précipitant sur les squelettes poster a cet effet, aucun n'y échappa, tous furent capturer et ramener vers le feu ligoté au pied et au poing avec des liane de ronces.
Prenant d'abord soin de la gamine et de son père, elle les fit porter par ses serviteur, qui se chargèrent de les ramener dans la ville la plus proche.
Toute a sa vengeance, hisomera n'entendit même pas leurs remerciement.
Un carnage allais débuter, et mieux valais pour eux qu'il ne soit pas la pour y assister.
Enchainant leurs âme a leurs corps, elle s'assura qu'il ne mourraient tant qu'elle le permettrait.
Rallumant le feu, elle mis leurs couteau a chauffer, commença par les attacher a des poteau autours du brasier, et fit amener une grande souche.
Chacun pourrait assister au calvaire de ses compagnons, la possibilité de fermer les yeux leurs fut retirer en même temps que leurs paupières.
Suppliciant leurs corps, hisomera passa deux jours sur chaque corps, les nourrissant juste ce qu'il fallait pour les garder en vie.
Et quand certains mourrait trop vite a son gout, elle les ramena de force dans leurs corps pour continuer.
L'ivresse de la vengeance la subjugua, le spectacle aurais été a vomir pour quiconque passa par la, les corps furent lacérer, découper, torturer, bruler, puis rebruler. Chaque nerfs de leurs carcasse fut mis a l'épreuve d'une souffrance impossible a supporter, poussant leurs esprit dans les pires retranchements.
Bien évidement, la nécromancienne avais garder le meilleurs pour la fin, le chef avais assister jusqu'au bout le calvaire de ses anciens compagnons, cet homme qui était responsable, ce monstre de lubricité et d'égoïsme allait enfin comprendre que l'on finit toujours par être rattraper par ses pêchers...
C'est totalement fou de terreur qu'il fut ligoter sur la souche, pour cette homme, hisomera allait se surpasser, pour son plus grand malheur, elle développa des prouesses de perversité, de sournoiserie et d'ingeniosité.
Elle le brula à petit feu, le fit mettre dans l'eau et recommença jusqu'à ce que sa peau deviennent une sorte de cloque géante purulente et visqueuse, et cela afin que chaque brulures a venir soit décupler par les brulures persistantes provoquer juste avant.
Arrachant sa peau, lui arrachant chaque dents, lui sectionnant les cordes vocale et chaque tendons de son corps meurtrit, il mourut dans des souffrances dépassant l'imagination.
Toujours pas satisfaite, hisomera eu l'idée de libérer les âmes des victime amasser dans sa quêtes de vengeance, et a la place y mit celles des tortionnaires, les enchainant pour l'éternité dans des corps pourrissants...
Elle les fit enterrer "vivant", invoquant une chape de boue durcit pour les priver de leurs mouvements, relâcha le contrôle sur eux, et les laissa ainsi, âme prisonnières de corps immobiles dans le monde immuable qu'est la terre.
Elle médita quelques temps au dessus de leurs têtes, décidant de leurs laisser un message d'adieu.
Se connectant a leurs esprit, elle "entendit" leurs âme hurler, et leurs susurra:
A présent, vous allez pouvoir réfléchir a vos actes, après tout, grâce a moi, vous avez toute l'éternité pour ca.
On échappe pas a la fatalité, adieux messieurs.
Sur ces paroles, hisomera quitta le royaumes des humains pour chercher des être tels qu'elle.
Mer 21 Mar - 10:58